Depuis 1998, le 2 août de chaque année est déclarée ‘’journée nationale du génocide congolais’’. A cette occasion, une messe d’action de grâce organisée par Martin Fayulu a eu lieu en la Cathédrale Notre Dame du Congo, pour rendre hommage à toutes les familles endeuillées, victimes de cette tragédie. En effet, le président national du parti Engagement pour la citoyenneté et le développement (ECiDé) réclame, la mise sur pied d’un Tribunal pénal international pour établir les responsabilités des présumés génocidaires.
Dès sa création en 1982, l'Udps a beaucoup bénéficié du soutien l'église catholique. La mansuétude du cardinal Malula envers ce parti politique et ses dirigeants victimes de la répression de la dictature sanguinaire du régime Mobutu n'est pas à contester. Je prends à témoin le président de la République Félix-Antoine Tshisekedi. Ayant connu, avec sa famille biologique, la relégation dans le village de Mumpompa à Kabaya Kamwanga, dans le Kasaï Oriental, il s'était rendu compte du rôle de l'église catholique pour la libération mentale du peuple congolais sous les jougs de la dictature.
*La démarche des prélats catholiques et protestants à vouloir rencontrer le Président de la République pour solliciter son arbitrage dans la désignation du Président de la CENI relève d'une absurdité absurde.
Cela fait 100 jours depuis que le gouvernement Sama Lukonde a été investi. 100 jours qui devraient normalement donner l’image d’un gouvernement qui s’est fait appeler des ‘’Warriors’’. Jean Michel Sama Lukonde a devant d’éminents journalistes, défendu son bilan en montrant les actions réalisées mais aussi en rassurant la bonne poursuite pour les jours qui viennent. Si pour lui, le bilan de son gouvernement est positif, d’autres bouches par contre estiment qu’il lui faut plus de temps pour juger les actions de cette équipe. C’est le cas de Germain Kambinga, ancien Ministre et président du parti politique ‘’Le Centre’’ qui n’a pas voulu juger le gouvernement Sama Lukonde et a souhaité attendre dans les jours qui viennent.
*L’histoire, on ne la falsifie jamais, dit-on. Fondée sur les faits réels, elle est sacrée tandis que la vérité, elle, est têtue. Dans la lutte permanente contre la balkanisation de la République Démocratique du Congo, un projet funeste mijoté dans les officines étrangères avides de nos immenses richesses, il y a lieu de reconnaître le rôle combien important joué par deux acteurs majeurs de notre paysage politique. Il s’agit du Rassemblement Congolais pour la Démocratie, RCD, mouvement politico-militaire créé le 2 août 1998, et de l’Union pour la Démocratie et le Progrès Social, UDPS, du Dr Etienne Tshisekedi wa Mulumba d’heureuse mémoire, le plus grand parti politique congolais à l’époque dans l’opposition.
*Des élections libres, transparentes et apaisées, tous les congolais, et mêmes les étrangers, y pensent et gardent un œil observateur sur cette problématique. Mais comment y arriver ? C’est là où le bât blesse. Germain Kambinga joue déjà sa partition en sortant une cartouche de solution qui part, avant tout, de la révision de la Loi sur la Commission Electorale Nationale Indépendante (CENI), récemment adoptée au niveau de l’Assemblée nationale. Convaincu de la faisabilité de sa proposition dans un délai convenable, le Président de Le Centre soutient que cette révision permettrait de résoudre inexorablement les difficultés très souvent rencontrées dans la démarche de désignation du Président de la CENI qui, cette fois-là, sera élu sur base d’un vote interne entre les délégués ou membres du bureau de cette Institution d’appui à la démocratie. Au cours de sa très récente sortie médiatique, Germain Kambinga a fait savoir que par sa piste de solution, la Centrale électorale sera ainsi gérée en collégialité. Car, a-t-il indiqué, le rôle du Président du bureau sera, à ce moment-là, la coordination et non l’imposition. Le tout, pour prévenir le pays de l’impasse des contestations après la publication des résultats des élections à tous les niveaux.
La journée Nationale du Génocide du peuple Congolais commémorée le 2 août de chaque année était une occasion pour Lamuka après près de deux décennies de se souvenir, en cette même date de cette année 2021, de toutes les victimes ayant versé leur sang pour l’amour de leur patrie. C’était en effet, au cours d’une célébration eucharistique dite en la Cathédrale Notre Dame du Congo de Lingwala, par l’Abbé Camille, un des missionnaires de l’Archidiocèse de Kinshasa. Aux côtés du Coordonnateur Adolphe Muzito dans cette messe de suffrage, il y avait le Président de l’Engagement Citoyen pour le Développement (ECIDé), le Président de la Dynamique pour une sortie de crise (Dysoc), Lisanga Bonganga ainsi que plusieurs membres et militants de Lamuka.
La ville de Kinshasa n’est pas gouvernée ou encore il y a absence de l’autorité de l’état dans cette ville». Jean-Marc Kabund, 1er Vice-président de la Chambre basse du parlement, parlant au nom des Députés nationaux élus de Kinshasa, n’a pas mâché ses mots. Malgré son statut de province, Kinshasa présente l’image d’une ville non gérée au regard de l’anarchie qui s’est installée dans tous les domaines. Excédé par ce désordre érigé en mode de gestion, les élus de Kinshasa, toutes tendances confondues, à l’initiative du vice-président de l’Assemblée nationale, ont décidé de hausser le ton face à l’indifférence de l’exécutif provincial.
La séance plénière d’hier, mardi 3 août 2021, était consacrée essentiellement à l’examen et au vote du projet de loi portant prorogation de l’état de siège dans une partie du pays. Ainsi, bien avant la tenue de cette plénière, au cours d’une entrevue accordée aux fils limiers du quotidien La Prospérité, le Député national Bathé Ndjoloko Tambwe a brisé l’omerta, en plaçant son point de vue quant à la néccessité de proroger pour la 5ème fois de suite, l’état de siège dans les provinces d’Ituri et du Nord-Kivu, toutes les deux en proie à l’insécurité.
«Le Cardinal Fridolin Ambongo n’appartient à aucune tribu, aucune ethnie ni aucun clan, il est Cardinal pour tous les congolais », c’est en ces termes que le Secrétaire Général de l’Union pour la Démocratie et le Progrès Social, Udps en sigle, Augustin Kabuya a commencé la matinée politique du mardi 3 août 2021, à la permanence de l’Udps. C’est sur ces mots le numéro deux de l’Udps a réagi aux propos tenus par le sénateur José Makila dans une vidéo qui circule sur les réseaux sociaux dans laquelle, ce dernier appelle les habitants de l’Equateur au soulèvement.
Lettre ouverte à son excellence Félix Tshisekedi Tshilombo, Président de la République, Chef de l’Etat
(Avec l’expression de mes hommages les plus déférents)
Objet : la nation se fissure peu à peu, sauvez la cohésion nationale
Excellence Monsieur le Président de la République, Chef de l’Etat,
Il n’est point un secret pour personne que depuis quelques temps, il se développe des discours contraires à la cohésion nationale et à la consolidation de la paix sociale.
Ils sont Coordonnateurs nationaux, Rapporteurs, Inspecteurs, Délégués provinciaux, Délégués territoriaux, en qui l’Honorable Vital Kamerhe a décidé de reposer sa confiance pour la gestion de la vision et de la mission de son parti politique l’Union pour la Nation Congolaise (UNC). L’annonce a été faite mercredi 28 juillet 2021 dans la soirée. Hormis le Coordonnateur national, le seul à n’avoir pas bougé, tous les autres membres de l’ancienne composition de la Coordination n’ont plus qualité, précise la décision du Pacificateur, d’engager le Parti. Et, le Secrétaire général Billy Kambale en est au courant et a été instruit de faire respecter toutes ces dispositions de la plus Haute Autorité du parti. Plusieurs territoires du pays, pour ne pas dire tous, sont concernés par cette décision de Vital Kamerhe et sont à découvrir dans la décision ci-dessous.
*Pas de temps à perdre. L’heure des vrais enjeux a sonné. A l’UDS, Crispin Kabasele Tshimanga Babanya Kabudi, visiblement déterminé, est prêt à se battre jusqu’au bout. Il multiplie des contacts et actions allant dans le sens de préparer sa base à toutes les veillées d’armes sur le plan électoral. A l’horizon 2023, l’UDS, lors de sa septième réunion ordinaire de son Conseil National tenue le 31 juillet 2021 au Centre pour Handicapés, a porté son choix sur Félix Antoine Tshisekedi Tshilombo comme son candidat préféré à la Présidentielle en RD Congo.
Déclaration Politique
*Accusé, recherché et traqué, l’Ancien Administrateur Général de l’ANR se dit, enfin, prêt à répondre de ses accusations devant les juges. Deux médias africains parus récemment en parlent largement et révèlent que l’heure va bientôt où M. Kalev Mutondo aurait l’occasion d’affronter tous ses accusateurs, pourvu qu’un procès public, juste, équitable et respectueux des dispositions pertinentes de la Constitution et des Lois de la République, soit organisé.